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Cycle d'Elric (1) - Elric des Dragons

( Elric of Melniboné )
Incontournable

couverture
Illustration : illustrateur


MEILLEUR LIVRE DE FANTASY
Position actuelle : 3
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Nombre de votes : 1002
Auteur :Michael MOORCOCK
Année de création : 1972
Sous-genre : Héroïc Fantasy
Edition :
2005Pocket( n° 5276 )
 
Quatrième de couverture :

Voici la tragique histoire de Melniboné, l'île aux Dragons, qui fut maîtresse du monde. Il y a de cela bien longtemps. Désormais les Dragons dorment et Melniboné dépérit.

Sur le trône de Rubis siège Elric, le prince albinos, dernier de sa race, nourri de drogues et d'élixirs qui le maintiennent tout juste en vie. La menace plane; alors il rend visite au Seigneur du Chaos, Arioch, et conclut un pacte avec lui. Il fait ainsi les premiers pas sur le chemin de l'éternelle aventure : le Navire des Terres et des Mers le porte à la cité pestilentielle de Dhoz-kam, et son destin le pousse à franchir la Porte des Ténèbres; au-delà, deux épées noires attendent leur maître et leur victime...

Grandes ambitions, passions monstrueuses. Idéaux et trahisons. Souffrances atroces et joies cyniques. Tourments de l'amour et douceur de haïr. Un passé ancien, qui ne peut revivre que dans les plus immondes cauchemars.


 

Note moyenne donnée par les internautes :  ( 6 votes )

Incontournable   le 03/06/2011 > Elric, prince des ruines ...
Ah, le cycle d'Elric, quel bon moment. L'albinos au destin tragique ...
Le cycle est très hétérogène, puisque qu'il n'a pas été écrit chronologiquement. Quelques mots sur chaque tome, donc.

Elric des dragons (1972) :
Sous la forme d'un roman, la jeunesse d'Elric sur l’Île aux Dragons, a l'époque ou les ruines n'en étaient pas encore ... Efficace, un bon début, et la première rencontre avec la créature nommée Stormbringer, maîtresse et esclave de notre héros ...
4/5

La Forteresse de la Perle :
Un roman aussi, mais bien moins bien. Assez ennuyant, d'autant qu'Elric se fait vraiment guider sans rien contrôler grand chose ... sauf a la fin. Moins bon que les autres tome, mais pas mauvais non plus.
3/5

Le navigateur sur les mers du destin :
Les voyages d'Elric, trois nouvelles qui se suivent, et qui sont d’intérêt croissant.
5/5

Elric le nécromancien :
Les premiers texte écrits par Moorcock sur Elric, le style est différent, très direct, ne s'attardant pas sur les détails. Les textes fondateurs sont toujours aussi bons !
5/5

La sorcière dormante :
Même style et même qualité que le tome précédent, les nouvelles sont également aussi percutantes. Du bon, très bon !
5/5

La revanche de la rose :
Retour au roman unique, dans le style du second tome. L'écriture est donc plus riche et l'ensemble bien plus détaillé, mais pas pour autant plus intéressant. Les personnages on la fâcheuse manie de se déplacer sans arrêt et comme par magie entre différents plans du Multivers, ce qui est assez exaspérant.
3/5

L'épée noire
Le mal est là, et les nouvelles retrouvent ce style simple et puissant. Classique, mais bon !
5/5

Stormbringer
La fin approche, sous la forme su premier roman de Moorcock, on retrouve donc le style auquel il nous avait habitué dans ses nouvelles. Grandiose, épique, voilà voilà, c'est l'apocalypse, et le cycle d'Elric, c’était génial !
5/5

Et non, pas de neuvième tome, le cycle s’arrête là, je n'ai donc pas lu Elric a la fin des temps.
Elric est un cycle de Fantasy sombre et intelligent, tout en laissant une large place a l'action entre deux pensées philosophiques et/ou déprimantes du Prince des Ruines sur le Destin, les Dieux, le libre arbitre, l'amour, la Justice, la recherche de la paix, recherche qui, pour lui en tout cas, est vouée a l'échec ..
 
Très bien iannis  le 13/02/2010 > Un grand cycle avec des haut et des bas
Si vous vous apprêtez à vous lancer dans le cycle d'Elric il faut tout d'abord savoir que ce n'est pas vraiment une grande saga mais plutôt un ensemble de nouvelles qui ont été écrites sans ordre chronologique et sont presque indépendantes les unes des autres. Et parmi ces nouvelles il y a du très bon et du très mauvais.

Les tomes 4, 7, 8 et 9 ont étés écrit dans les années 60 et sont aussi pauvre au niveau du style littéraire que de l'intrigue, ils n'intéresseront que les fans et encore...
Les tomes 1, 3 et 5 ont étés écrit dans les années 70, leur style littéraire est bien meilleur, les intrigues et l'univers sont beaucoup plus travaillés et intéressants.
Les tomes 2 et 6 ont étés écrit fin 80 début 90, ils se situent dans des univers a part mais très détaillés et débordant d'imagination, le style littéraire devient tellement bon qu'il est un peu plus dur à lire mais incontestablement se sont les 2 meilleurs tomes.

En bref Moorcock est un auteur qui c'est bonifié avec l'âge et l'homogénéité du cycle d'Elric s'en ressent beaucoup. Quand après l'excellent tome 6 écrit en 1991 on tombe sur le 7 écrit en 1962 ça fait mal.
Mon conseil : commencez par les 3 premiers tomes, évitez le 4, lisez le 5 et le 6 puis passez au cycle de Corum sans vous embètter à finir Elric.
 
Incontournable dakeyras  le 20/09/2009 > unique
Un style d'écriture unique en son genre, et un rythme à couper le soufle. A lire absolument, peut importe les préférences en termes de lecture
 
Incontournable   le 12/09/2009 > Stormbringer !!!
Et bien, voilà que je quitte un cycle, le fleuve de l’éternité, pour un autre, encore plus long et bien plus célèbre, Elric. Décidément, je n’ai pas peur par les temps qui courent de me lancer dans des sagas en x tomes, et qui, par-dessus le marché, ont marquer l’histoire de la SF et de la Fantasy. Et pour ce qui est d’Elric, cela ne serait pas exagérer de dire que j’aborde cette fois ci un véritable monument de la Fantasy, une œuvre magistrale et culte, écrite par un auteur, Michael Moorcock, qui avec ses divers cycles (il sera toujours temps par la suite de les aborder), à su créer une véritable mythologie déclinée à l’infinie depuis dans d’autres romans, jeux, films et autres : le mythe du Champion Eternel, héros malgré lui, accablé d’un lourd destin, en proie aux luttes incessantes du Chaos et de l’Ordre et dont les diverses incarnations, en de multiples plans du Multivers ont donner à la littérature des noms aussi célèbres que Hawkmoon, Erekosë, Corum et, bien sur, dans le cas le plus connu, Elric de Melniboné, le prince albinos, porteur de la terrifiante et aussi connue que son porteur, Stormbringer.

Elric m’est connu depuis une bonne vingtaine d’années. Mais, même si ce n’est que maintenant que j’aborde enfin ce cycle (franchement, cela peut paraître incroyable d’avoir attendus aussi longtemps), comment n’aurais je pas put avoir entendu parler de lui ? Mes goûts, mes lectures, mon passé, tout ceci à fait que, au cours de ma vie, j’ai toujours côtoyé Elric sans jamais franchir le pas. « Il sera toujours le temps de m’y lancer un de ces quatre », mais oui, bien sur… Et après, vingt ans s’écoulent. Alors, finalement que je me suis décidé une bonne fois pour toutes à m’attaquer à ce monument de la Sword & Fantasy, qu’ais je donc penser de ce premier tome de ce cycle cultissime qui en comporte neuf ?

Elric des Dragons est un vrai/faux premier volume de la saga. En fait, Moorcock, lors de sa création d’Elric écrivit quelques nouvelles, allant de la chute de Melniboné à la mort d’Elric, avant de revenir, par la suite, à plusieurs reprises vers son héros préféré, auquel il s’identifia tant au point d’en faite un double de lui-même, pour narrer des aventures de celui-ci se déroulant dans son passé, comme ce court roman (un peu moins de 200 pages) devenu depuis le début officiel de la saga. L’on y retrouve donc Elric, encore jeune, sur le trône de Melniboné, un Empire autrefois glorieux mais depuis longtemps décadent, et bon nombre des personnages principaux qui l’entoureront par la suite comme son aimée, Cymoril et le perfide Yyrkoon. L’intrigue nous plonge sans temps morts sur les démêlés du Prince Albinos avec son cousin qui souhaite se débarrasser de lui afin de lui ravir le trône. Et la lutte des deux cousins occupera donc l’intégralité de ce premier tome, entraînant le lecteur de la mythique cité d’Imrryr au Royaume des Ténèbres, situé sur un autre plan d’existence, entre batailles navales, intrigues, trahisons, maléfices, jusqu’ a parvenir finalement à la Caverne des Palpitations, lieu où se trouvent enfermées depuis des millénaires, les deux épées runiques, Stormbringer et Mournblade.

Bon, je reconnais que dit comme ça, on ne peut pas vraiment dire que l’histoire brille par son originalité, loin de là, puisque, a priori, des récits de quêtes, d’épées magiques et de lieux plus ou moins maléfiques, on en a l’habitude depuis près d’un siècle. Disons même franchement que le genre pourrait être lassant. Cependant, Elric, ce n’est pas seulement ça. Elric n’est pas Conan, il en est l’antithèse même : là ou le Cimmérien était fort, musclé, intrépide et sur de lui, tout en ne contant plus depuis longtemps ses conquêtes féminines, Elric lui est faible (très faible d’ailleurs puisqu’il lui faut des drogues pour survivre), son aspect est maladif, c’est un contemplatif, un littéraire, qui ne cesse de se poser des questions sur le sens de la vie. Et pour ce qui est des femmes, il est follement amoureux de sa cousine Cymoril. Bref, rien à voir avec Conan. Alors, je sais bien que pour le lecteur moderne, cela n’est pas forcement quelque chose d’extraordinaire, au contraire ; après tout, des anti-héros, il a eu l’occasion d’en voir à la pelle. Quant au style, et bien, ont pourrait toujours, si l’on veut chipoter un peu, trouver qu’il y a bien mieux. Mais à votre avis, d’où viennent tous ces héros indécis ou/et affublés de diverses tares ou/et mélancoliques, voir, pour aller encore plus loin dans la filiation, où croyez donc vous que nos amis japonais ont été chercher l’inspiration pour tous leurs personnages de RPG, le plus souvent du mauvais coté de la force, à la longue chevelure blanche (qui à dit Sephiroth) ? Vous avez deviné ? Et oui, Elric !

Elric est à la base de tout. Tout simplement. Et même si le style, pour certains, pourrait avoir vieilli, il reste incontournable et se doit d’être lu. Certes, je n’en suis pour le moment qu’au premier tome de cette longue saga, et il m’est difficile de me faire une opinion d’ensemble, ce qui est normal. Cependant, rien qu’à la lecture de cet Elric des Dragons, je ne pense pas être déçu, ou, du moins, ce premier volume à combler toutes mes attentes, même si je dois reconnaître que, connaissant assez bien l’univers de Moorcock, j’étais en terrain connu (pour l’effet de surprise, on passera) : un personnage principal charismatique en diable, et ce, à tous les niveaux, une intrigue pas forcement géniale mais assez captivante que l’on lit d’une traite et dans laquelle on retrouve tous les éléments qui se développeront ultérieurement comme les esquisses de la mythologie de cet univers, la dualité Loi/Chaos, la Balance Cosmique et bien d’autres. Bref, un bon début pour un cycle incontournable et que j’aurais dut lire depuis bien longtemps. En un mot : indispensable !
 
Incontournable   le 27/03/2007 > l'épopée d'un (grand) seigneur
Super roman, le rythme est effrèné, sans temps mort, rien que de l'action. MOORCOCK est passé maître dans l'art de décrire un univers fantastique ou se cotoient les seigneurs, les monstres et les dragons,
 
Très bien damien  le 08/06/2005 > début prometteur de l'épopée
le héros maudit, dans sa chair et dans son âme, détenteur de grandes puissances qu'il ne peut controler tout à fait et pervertissent son être. Ce tome est le meilleur de la série.
 




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